Dr Sophie Converset
 

Facial Plastic Surgeon
Chirurgien de la face et du cou

La méthode "Full Face" de traitement à la toxine botulique, par le Dr Sophie Converset

La toxine botulique célèbre plus de trois décennies d’usage en médecineesthétique, demeurant le choix de prédilection des médecins et aussi des patients pour rajeunir le visage. Objet de multiples études cliniques, ce produit continue de fasciner, ouvrant la voie à de nouvelles indications et techniques grâce aux recherches et à l’expérience des praticiens.

Aujourd'hui, la toxine est de plus en plus employée dans des traitements "Full Face". Pourquoi ?

Une bonne connaissance de lʼanatomie, une meilleure compréhension de la physiopathologie du vieillissement, la safety et le recul du produit, lʼexpérience du praticien ont permis une utilisation plus large (mais hors-AMM) de la toxine botulique.
Ces avancées sont aussi le fruit d’une meilleure compréhension de la distribution
musculaire faciale.
La précision de l’administration de la toxine botulique, dans son site et sa profondeur d’injection, permet d’obtenir des résultats « myo-modulateurs » très spécifiques. Le but est de garantir un résultat naturel respectant la mobilité faciale aussi bien pour le tiers supérieur du visage mais aussi pour le tiers inférieur du visage.
La toxine botulique offre une solution préventive contre les signes de lʼâge mais aussi, en ciblant des muscles spécifiques dits « abaisseurs », elle intervient comme le traitement pilier de la médecine esthétique pour lutter contre lʼaffaissement du visage avec lʼâge.

Aujourd'hui, la toxine est de plus en plus employée dans des traitements "Full Face". Pourquoi ?

La toxine botulique et l’acide hyaluronique sont des outils précieux pour corriger naturellement les défauts du visage et atténuer les expressions négatives telles que la fatigue, le souci, la tristesse ou la colère.

Avec l’âge, les contractions musculaires altèrent les expressions faciales, véhiculant des émotions discordantes avec la personnalité du patient. Les rides du front répondent bien aux injections ciblant le muscle frontalis pour relever les sourcils, ainsi qu’au traitement des rides de la glabelle (muscles corrugator et procerus) exprimant la contrariété et la sévérité. Dans la région des pattes d’oie, quelques injections lissent les rides périorbitaires (muscle orbicularis oculi) et peuvent relever la queue du sourcil.

Parfois, la toxine est utilisée au-delà des indications officielles, par exemple, pour traiter une activité excessive d’un petit muscle (le depressor septinasi) dans la partie médiane du nez, atténuant la chute de la pointe du nez au sourire.
Les muscles dilatateurs des narines peuvent également être ciblés afin de diminuer lʼouverture narinaires en dynamique. De même, les rides “du lapin” ou bunyʼs
lines au sourire peuvent être atténuées.

Le sourire gingival peut être amélioré en relaxant les muscles qui tirent la lèvre vers le haut, couvrant ainsi la gencive lors du sourire. Cette injection a également un effet lissant sur le sillon naso-génien.

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